SCUOLA DI SPECIALIZZAZIONE PER L’INSEGNAMENTO

SECONDARIO DELLA TOSCANA

 

Sede di Firenze

 

 

IV  CICLO

 

2° ANNO

 

 

 

 

 

 

AREA III DISCIPLINARE

 

UNITÉ DIDACTIQUE DE LANGUE

 

 

 

 

SÉQUENCE DIDACTIQUE SUR LES VERBES DU PASSÉ

 

 

 

 

 

      Indirizzo                                                                                    Specializzando 

Lingue Straniere                                                                        Massimiliano Badiali

 

 

 

 

Supersivore

Prof.ssa Eliana Terzuoli

 

 

 

 

ANNO ACCADEMICO 2003-2004

Titre 

Les verbes du passé

 

Introduction

J’ai réalisé cette unité didactique[1] dans une classe de « Seconda superiore »[2]  de l’Institut Professionnel « Orafi Margaritone» d’Arezzo[3]. Je me suis proposé de promouvoir un apprentissage-plaisir[4], en faisant pratiquer la conjugaison du passé composé et de l’imparfait des verbes en  –er[5] et irréguliers que les élèves avaient déjà étudiée[6], à travers des jeux sémantiques et l’usage de l’ordinateur. Dans la classe le problème qui revenait sans cesse, était celui de l'utilisation convenable des temps du passé et du passé composé en particulier. En ce qui concerne la différence d'emploi entre ces deux temps du passé, j’ai pensé renforcer l'apprentissage à travers des exercices, qui ont remplacé avantageusement les dissertations théoriques. Pour montrer le fonctionnement réel des phrases au passé composé et à l’imparfait (à l’oral et à l’écrit) et enrichir la compétence lexicale et grammaticale, j’ai voulu faire utiliser aux élèves l’Internet[7] où il existe toute une série de sites proposant « des activités d’apprentissage organisées[8] par domaines de la langue (vocabulaire, grammaire) ou par attitude (compréhension écrite et expression écrite [….] »[9]. Cette stratégie NTIC[10] a favorisé l’apprentissage autonome face à la langue écrite et a permis de mobiliser l’attention des élèves et leurs connaissances dans la compréhension d'un document écrit, dans la reconstitution d'un texte lacunaire et dans l’autocorrection[11].

Il est indéniable que l'apport du jeu et du travail face à la machine, donc l'absence du professeur « culpabilisateur » a permis aux élèves de s'exprimer plus ouvertement et de s’autoévaluer pour déterminer leur niveau. Il leur a été possible donc de se rendre compte[12] que certaines structures, bien qu'assimilées lors du  cours, n'étaient pas parfaitement fixées.

 

Public visé

2ème année de « Istituto Professionale Orafi Margaritone» de Arezzo. La classe est composée de 18 élèves (3 filles et 15 garçons) rencontrant des difficultés. Les élèves sont peu intéressés à la matière. Ils n’étudient pas à suffisance, puisqu’ils ne sont pas motivés par les activités scolaires qui n'ont guère de sens pour eux..

 

Pré-requis

Les élèves connaissent:

-         l’imparfait à la forme affirmative, négative, interrogative ;

-         le passé composé des verbes avoir et être, du groupe en –er et des irréguliers à la forme affirmative, négative, interrogative;

-         les mois, les jours de la semaine ;

-         les villes, les parcours touristiques et les monuments de la France[13] ;

-         comment dire l’année de naissance ;

-         comment écrire un conte au passé ;

-         comment utiliser le programme Word ;

-         comment consulter des sites sur Internet.

 

Niveau

La plupart des élèves n’a pas étudié le français au Collège (débutant). Trois élèves l’ont déjà étudié, mais leurs connaissances sont lacunaires (faux débutants[14]).

 

Période 

1ère semaine de mars.

 

Objectifs généraux

A la fin de ce parcours les élèves devront:

-         améliorer leurs relations générales dans la classe ;

-         être sensibilisés au travail de groupe et à la collaboration en classe ;

-         apprendre à collaborer avec les autres.

 

Objectifs cognitifs

 A la fin de ce parcours les élèves seront en mesure de :

-         comprendre des phrases sur des activités et des actions quotidiennes au passé ;

-         savoir bien utiliser le passé composé et l’imparfait de l’indicatif ;

-         savoir jouer avec les mots pour créer un texte court et amusant, sur un modèle donné ;

-         savoir parler au passé ou raconter un événement passé ;

-         savoir écrire un récit d’un voyage réel ou imaginaire, en utilisant le passé composé et  l’imparfait.

 

Objectifs linguistiques

A la fin de ce parcours l’élève sera capable de :

-         reconnaître et bien utiliser les verbes à l’imparfait et au passé composé à la forme affirmative, négative et interrogative à l’oral et à l’écrit ;

-         écrire les formes verbales étudiées à l’imparfait et au passé composé sans fautes d’orthographe ;

-         exprimer sa propre date de naissance ;

-         bien utiliser le lexique et le langage touristique.

 

Temps

4 heures de 50 minutes (2 heures le jeudi, 2 heures le samedi).

 

Matériel

-         manuel ;

-         cassette-audio ;

-         photocopies.

 

Méthodologie

-         approche communicative centrée sur l’apprenant[15] ;

-         méthode « active, directe, imitative et  inductive »[16] ;

-         enseignant "facilitateur"[17].

 

Stratégies

-         écoute de l’enregistrement du texte;

-         travail individuel;

-         le travail en binôme : deux élèves par poste d’ordinateur[18]

-         recherche d’idées et du lexique en groupe et mise en commun des idées ;

-         exercices « structuraux, de substitution et de transformation »[19];

-         exercices à trous[20];

-         production écrite ;

-         écriture créative.

 

Outils

-         tableau noir ;

-         magnétophone ;

-         ordinateur.

Lieu

-         salle de classe ;

-         laboratoire d’informatique.

 

Contenu et démarche

1ère  séance : (50 minutes)

Cours dialogué et pause grammaire: (15 minutes)

Je pose la question : « quand es-tu né(e) ?- Dis-moi le jour, le mois et l’année »? Les élèves me répondent à tour de rôle : « Je suis né(e)…. ». Je consigne la photocopie d’un schéma, que j’ai préparé pour les élèves, sur la formation du passé composé[21].

Ecoute de l’enregistrement d’un conte au passé en plénière : (15 minutes)

Les élèves ont déjà lu des contes et ont rencontré[22]  un bon répertoire de verbes au passé composé et à l’imparfait. J’annonce qu’on va écouter un conte au passé. Première écoute globale de l’enregistrement. Il s’agit d’un dialogue entre deux amis : Jacques raconte à Eric son arrivée à la montagne et les conditions de la météo qu’il a rencontré en voyage [23].

Je consigne la photocopie du conte. Deuxième écoute, photocopie sous les yeux. Je donne la consigne d’écoute. Mise en commun des résultats avec un dialogue en plénière. Troisième écoute, de l’enregistrement. Cette partie consacrée à l’écoute des verbes a la fonction de faire mémoriser la prononciation.   

Atelier de création : (15 minutes)

Je[24] commence à écrire des verbes au tableau, sous la dictée des élèves, occasion pour répéter l’orthographe et la grammaire. Je propose un jeu écrit où j’écris au tableau noir la première personne d’un verbe au passé composé et j’invite les élèves à continuer, en conjuguant les verbes selon le modèle d’exemple donné[25] et en respectant les formes verbales correctes. Je divise la classe en 9 groupes de deux élèves[26]. Les élèves doivent produire un texte semblable au modèle donné, à partir d’un autre verbe. Pour aider les élèves, j’écris au tableau d’autres verbes à l’infinitif. 

Activité ludique (5 minutes)

Debout[27] et en cercle : lecture à voix haute, accompagnée de la mimique et de la gestuelle[28], des résultats du travail de groupe.

Travail à la maison : soulignez les verbes au passé composé et à l’imparfait, écrivez-les dans notre cahier et transformez-les à l’autre forme du passé[29] ; complétez les exercices à trous[30].

 

2ème séance : (100 minutes)

Texte lacunaire à compléter et contrôle orthographie et grammaire : (40 minutes) 

J’invite les élèves à me remettre leurs cahiers. J’apporte les élèves dans le laboratoire d’informatique[31]. Je divise la classe en 6 groupes, librement choisis, de deux élèves chacun[32]. Je consigne une disquette qui contient un texte lacunaire[33] à chaque groupe. L'activité proposée consiste dans la reconstitution progressive du texte à trous que les élèves doivent compléter en utilisant les verbes au passé composé et à l’imparfait. Les apprenants doivent posséder une connaissance à la fois de la grammaire, mais aussi la maîtrise de l'orthographe et du vocabulaire. Pendant que les élèves travaillent, je passe parmi les groupes pour montrer et expliquer comment utiliser le « contrôle orthographie et grammaire » dans le programme Word qui permet de visualiser les erreurs, puisque les mots pas corrects sont soulignés en rouge, et de les éliminer avec « la correction automatique »[34]. 

Ecriture créative : (30 minutes) 

J’invite les élèves, par groupes de deux, à travailler ensemble à l'ordinateur pour inventer le conte d’un voyage réel ou imaginaire en France, en décrivant les lieux visités et les monuments vus. Les contes doivent être écrits au passé composé et à l’imparfait, en utilisant de 30 mots au minimum à 50 au maximum. Les élèves peuvent utiliser la correction automatique. Pendant ce travail d’écriture créative, je contrôle le travail sans intervenir. Puis j’invite les élèves à me remettre les disquettes que je leur avais données où ils doivent mémoriser les contes inventés, avec leurs noms dans le titre du document.

Dramatisation du texte inventé : (30 minutes)

Je demande à chaque groupe de lire leur conte. Le groupe doit se mettre debout. Les apprenants peuvent décider de l’interpréter. Ils peuvent jouer à l’aide de la gestuelle et de la mimique.

 

3ème séance : (50 minutes)

Grammaire sur Internet : (50 minutes)

Je remets aux élèves, divisés en groupes de deux, une photocopie[35] qui indique l’adresse du site d’Internet[36] auquel ils doivent se connecter et l’ordre qu’ils doivent suivre pour faire les exercices. La règle est la suivante : il faut que chaque groupe ne passe à l’exercice successif sans avoir bien complété le précédent. Je contrôle que la consigne soit respectée par les groupes.

Travail à la maison : exercices à trous sur l’usage du passé composé et de l’imparfait[37].

 

Evaluation

Compilation des exercices structuraux sur Internet sur la formation du passé composé et de l’imparfait à la forme affirmative, négative et interrogative ; vérification de l’apprentissage du passé composé et de l’imparfait par des exercices lacunaires ; exercices de transformation  d’un temps du passé à l’autre ;

 

Conclusions

L’exploitation de ce parcours a permis aux élèves de mieux appliquer, intégrer et restituer les connaissances. Il a donc permis aux élèves de travailler sur le vocabulaire et sur l'orthographe à travers un parcours d’apprentissage-plaisir[38].

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



[1] Lors de mon stage SSIS de la première année.

[2] La « Seconda Superiore » correspond à peu près à la Seconde d’un Lycée français.

[3] L’école est située dans le centre de la ville d’Arezzo. Elle est une école d’état spécialisée dans l’étude de l’art du bijou. 

[4] Régine Mérieu, Favoriser un apprentissage-plaisir chez les jeunes adolescents,  Le  français dans le monde, n°. 305. En accord avec les études des neurosciences et de la psychologie appliquée à l’enseignement, cette méthode favorise la mémorisation des contenus dans la mémoire à long terme. Voir, Cours de M. Maiorana, (5/12/02) et de M. Cambi (U.D.3 Pedagogia, du 4/04/03) .

[5] Je préfère ne pas utiliser la définition traditionnelle « du 1er groupe »

[6] La classe avait déjà étudié le passé composé et l’imparfait avec leur enseignant de Français, Mme Nara Dioni, mon tutor dans le stage de la première année SSIS, qui m’a permis de réaliser cette unité didactique de révision des verbes au passé. 

[7] Internet est un « réseau d'information à échelle planétaire où nous pouvons consulter toutes sortes de messages, essentiellement écrits. Comme système multimédia, Internet peut actualiser images et sons, mais le rôle de l'écrit constitue sa fondation incontournable » (F. Mangenot, Réseau Internet et apprentissage du français, In Etudes de linguistique appliquée 110, septembre 1998, Paris, Didier, 1999,, p. 203).. Il peut être utile parce qu’il « permet une exposition simultanée à la langue et à la culture enseignées » (T. Lancien, Le multimédia, Paris, Clé International, 1998, p. 91) .

[8] Il faudrait, selon Thierry Lancien, que l’enseignant réussisse à intéresser l’élève « à la fréquentation autonome des sites » (T. Lancien, Le multimédia, op. cit. , p. 99) pour la consultation de toutes sortes de documents.

[9] T. Lancien, Le multimédia, op. cit., p. 103.

[10] Les nouvelles technologies de l’information et de la communication (N.T.I.C) proposent aux enseignants de renouveler leur méthode « avec les nouveaux outils du savoir aujourd'hui disponibles, modifiant le rôle des formateurs ». (S. Salava, Cyberespace et formations ouvertes : vers une mutation des pratiques de formation ?., Bruxelles, De Boeck Université, 2000.p. 224). Les démarches d'innovation dans le domaine des enseignements médiatisés) proposent des modèles d'analyse des pratiques d'enseignement / apprentissage dans le cyberespace qui peuvent favoriser l'autoformation des apprenants..

[11] Les élèves devaient savoir se corriger mettant en oeuvre leur capacité de réutiliser les règles et le lexique connus pour former des phrases grammaticalement correctes. Il leur était également imposé de se plier aux règles strictes de l'orthographe.

[12] Les nouvelles technologies de l’information et de la communication sont une solution aux problèmes de l’enseignement et de l’apprentissage. Mais comment faire pour que l’interactivité des outils devienne interaction entre les personnes ? Il faut susciter le dialogue entre les acteurs (pédagogues, didacticiens des sciences, chercheurs) et les utilisateurs (enseignants, étudiants, parents, etc.). (Voir C. LEBRUN, Des technologies pour enseigner et apprendre Bruxelles, De Boeck, Université, 1999, p..240)..

[13] Les élèves avaient lu et étudié des reportages sur le tourisme dans leur manuel

[14] Les deux différents niveaux de la classe ont toujours rendu nécessaires de différentes activités pour la répétition des sujets abordés. 

[15] Cette méthode crée « un procès mécanique de formation d’automatismes » ( Puren C.-. Bertocchini P.- Costanzo E., Se former en didactique des langues, Paris, Ellipses, 1998, p. 143).

[16] Cf. Se former en didactique de langue, op. cit., p. 81.

[17] Rogers propose une technique «  qui consiste à stimuler continuellement l’élève, à lui donner la parole et résumer ce qu’il a dit », cf. E. Catarsi, L’insegnante incoraggiante A1, Cours de Pédagogie du 14/12/03.

[18] Travailler en commun amène les élèves à l’acquisition de procédures d’organisation du travail coopératif : processus éclatement/regroupement des tâches, mise en œuvre d’une pédagogie de contrat. (Voir V.Bayer-J.Farah., Apprentissage des langues en tandem sur Internet, ELA, Nº 113, 199 pp.73-78).

[19] C. Tagliante, La classe de langue, Paris, Clé, 2001., p. 31

[20] En effet, il est très intéressant de pouvoir élaborer un exercice à trous portant sur tel ou tel élément grammatical (application des temps des verbes  irréguliers, par exemple) ou lexical (travail sur les adverbes, ou mots de liaison ou champs sémantiques précis). Ceci permettrait également de contrôler si l'élève a appris son vocabulaire.

[21] Voir Carnet des exercices et des activités en classe, Annexe 1.

[22] « Partir du connu pour arriver au nouveau » est l’un des principes de la moderne didactique. “Selon ce point de vue, l’enseignant doit absolument tenir compte des connaissances antérieures de l’apprenant  […]. Tardif va même jusqu’à affirmer que l’on ne peut apprendre que ce que l’on connaît déjà. L’apprenant doit donc avoir une base de connaissances par rapport aux informations données. ”(cf. Les stratégies d’apprentissage, op. cit., p. 110).

[23] Voir Carnet des exercices et des activités en classe, Annexe 2.

[24] En prévision de l’étape successive qui voit l’élève actif, je préfère écrire moi-même, aussi pour éviter de me voir obligé d’appeler tous les élèves au tableau.

[25] Ils doivent toujours changer le verbe au passé composé. Voir Carnet des exercices et des activités en classe, Annexe 3.

[26] Chaque groupe est constitué des élèves voisins de banc.

[27] J’essaie de faire bouger les élèves, mais la disposition traditionnelle de la salle de classe limite les possibilités de mouvement. Une didactique renouvelée devrait accorder une attention majeure à l’aspect de la corporéité mais il faudrait aussi re-projeter l’espace de la salle de classe.( D. Sarsini, Il corpo in occidente, Roma,  Carocci, 2002).

[28] Maiorana : l’apprentissage n’est pas une opération purement cognitive : on n’apprend pas avec le cerveau seul, mais aussi avec le corps. Il est important d’habituer l’élève à comprendre la valeur communicative de la gestuelle. Le Cadre de référence souligne la nécessité d’insérer une réflexion sur la gestuelle dans l’apprentissage de la langue étrangère. « Le langage du corps : connaissance des conventions qui régissent des comportements qui font partie de la compétence socioculturelle de l’usager/apprenant. », (Cf. « Cadre européen de référence pour les langues », Paris, Didier, 2001, 4.4.  5, p. 72, 5.5 p. 83).

tiffany and co

[29] Je leur donne l’exemple au tableau noir. Voir Carnet des exercices et des activités en classe, Annexe 4.

[30] Voir Carnet des exercices et des activités en classe, Annexe 5.

[31] Dans le laboratoire d’informatique il y a 10 ordinateurs connectés à Internet.

[32] Pendant mon stage d’enseignement, j’ai noté que le samedi beaucoup d’élèves étaient absents.

[33] Voir Carnet des exercices et des activités en classe, Annexe 6.

[34] Cette méthode est très utile pour une meilleure autocorrection de l’apprenant.   

[35] Voir Carnet des exercices et des activités en classe, Annexe 7.

[36] Sur Internet j’ai trouvé plusieurs répertoires ou sites à consulter consacrés exclusivement à des exercices de français. J’ai noté que normalement ces exercices de caractère grammatical ou lexical se présentent sous les formes déjà connues des manuels d'exercices : questions et réponses; compréhension d'un texte, transformation de phrases ou substitutions de mots, jeux de vocabulaire, utilisation d'une forme verbale ou grammaticale, textes à trous, test, etc.

[37] Voir Carnet des exercices et des activités en classe, Annexe 8.

[38] Les élèves m’ont souvent demandé de travailler sur Internet et à l’ordinateur parce qu’ils s étaient beaucoup amusés.