CAPITOLO IV : Pour vos cadeaux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1. La madre

 

Pour vos cadeaux è il romanzo che completa la saga provinciale della famiglia Rouaud. Se nei primi tre libri, il romanziere ci ha parlato soprattutto del padre o meglio della sua assenza, Pour vos cadeaux è tutto consacrato a colei che è rimasta in ombra finora: la madre.

 

Seule la mère manquait à l’appel des sentiments, retirée dans son deuil, lointaine inaccessible femme de devoir, tout de noir vêtue, douloureuse et muette pendant des années qui furent des siècles, derrière le comptoir de quincaillerie où son précoce veuvage l’avait condamnée 1.

 

 

Ed è di questa madre, muta e consunta come uno spettro, che sono descritte le fibre più intime del cuore sofferente. Sebbene la « petite silhouette ombreuse »(P.V.C. pag.9) abbia attraversato tre libri, muta, in punta di piedi, ritratta nel suo infaticabile operare nel negozio di famiglia, Rouaud restituisce la sua immagine alla scrittura, solo dopo la sua morte, avvenuta nel 1997, a 73 anni2.

L’incipit del romanzo palesa che Annick Brégeau, madre di Jean è morta :

 

Elle ne lira pas ces lignes, la petite silhouette ombreuse, dont on s’étonnait qu’elle pût traverser trois livres sans donner des ses nouvelles- ou si peu, figuration muette, condamnée au silence par le ravissement brutal de l’époux et un chagrin si violent qu’elle crut qu’il aurait raison d’elle, de sa vie(..) (P.V.C. pag. 9).

 

Questa scrittura funeraria, definitivo saluto del figlio sottrae Annick all’oblio dei tempi. La sua sparizione permette al narratore omodiegetico, « de quitter les lignages masculins autour desquels s’est tissée juqu’au présent la trame de cette histoire familiale »3.

 

Pour vos cadeaux è la biografia di Anne o di, come la chiamavano tutti, Annick. Il suo vero cognome è Brégeau, rivelato solo in Pour vos cadeaux4 : in Des hommes illustres si menzionava Burgaud, sintesi del cognome della madre da nubile e di Rouaud, quello da coniugata, usato per enfatizzare la sensazione di profonda appartenenza, che ella provava nei confronti del marito Joseph5.

Come evidenzia Dominique Bona, Pour vos cadeaux non è soltanto il romanzo dedicato alla madre, ma sembra che esso "respire à sa

 

 

cadence" e sembra scandito da "son rythme cardiaque, anxieux, précipité"6 : la scrittura si muove secondo la violenza del flusso d’emozioni, in essa restituite. Il tono della scrittura assomiglia al sussuro di una confidenza, raccontata a voce bassa, appena mormorata.

 

Pour vos cadeaux si divide in due parti, anche se il narratore individua tre fasi nella vita e nella psicologia di Anne : donna pratica e razionale, prima della morte del figlio e del marito, poi moglie disperata e depressa e infine lavoratrice iperattiva nel tentativo di esorcizzare lo strazio che i lutti le hanno inferto al cuore.

 

 

2. Anne : una donna semplice

 

La storia di Anne prima della morte del marito è solo accennata: nelle opere precedenti ricordiamo la sua presenza alla fine di Des hommes illustres, dove viene raccontato come, giovinetta, si salvò miracolosamente, durante i bombardamenti americani di Nantes7.

Se Des hommes illustres raccontava la vita di Joseph, uomo illustre, Pour vos cadeaux ha come protagonista la madre, che si rivela l’antinomia del marito: una donna semplice8.

 

Elle n’était pas du genre à se laisser bercer par les illusions romantiques. La contemplation de l’océan ne l’absorbait pas plus de cinq secondes, ne lui arrachait aucun commentaire particulier, ce qui de son point de vue signifiait quelque chose comme : bon, d'accord, c'est vaste, ça bouge tout le temps, mais ça n’est que de l’eau. On ne l'imagine pas plus arpentant le bord de mer, cheveux au vent, offrant son visage aux embruns, que profitant de son séjour dans la station thermale du Puy-de-Dôme pour escalader les monts qui l'entourent et au sommet de l'un d'eux saisie par un vertige ontologique en découvrant cette mer de nuages â ses pieds, remettant en question sa vision matérielle du monde..Aussi bien ici que là-bas, dépossédée de son emploi du temps, elle s’était profondément ennuyée, et toute la littérature sur le sujet ne la ferait pas changer d’avis. Le monde, on l’éprouve, ce qui justifiait ses propos bien sentis, à quoi s’ajoutaient, pour boucler son interprétation empirique de l’univers.(P.V.C. pag. 97),

 

Anne non prova timore dell’acqua, come principio di dissoluzione del passato9, ma detesta ogni forma di evasione o di diversivo, per un sentimento di estremo pragmatismo, che la impegna solo nel concreto rigore e nell’estrema dedizione al dovere di educatrice e di capofamiglia. Non solo ha alcuna capacità di immaginazione, al contrario di Joseph, ma non si concede neppure un margine minimo di aspirazione all’ideale, che tende, invece, a narcotizzare e a reprimere in base ad un rodato modus vivendi, basato sull’esasperazione della semplicità :

 

(…)il était vain devant elle [Anne] de se payer de mots, de tenter une envolée lyrique, elle ne laissait pas passer grand-chose. Sans doute un héritage de sa mère, laquelle avait dépensé beaucoup de son énergie à rattraper le manque de sens pratique de son curieux mari. Mais toute formulation d'une pensée un peu rêveuse, moins dans le but d'y croire que de desserrer l'étau du réel (évoquer la possibilité d'une activité future sortant de l'ordinaire, par exemple), était sanctionnée de sa part par un haussement d'épaules sans appel. Apprennez donc à être simples. Ce qui est contraignant, ne favorise pas les élans, rogne les ailes, n'autorise pas le droit aux tâtonnements, mais, à l'usage, se révèle une position stratégiquement avantageuse. Si l'on évoque devant vous de fantastiques vacances à la mer ou à la montagne, vous pensez aussitôt à votre petite maman qui ne s'en laissait pas conter, soupirant au bout de la jetée ou au fond de la vallée (P.V.C. pagg. 97-98).

 

 

In tal modo la madre nega rifiuta ogni cambiamento: la sua intransigenza e la sua visione empirica dell’universo non le permettono di continuare l’opera di Joseph, che aveva deciso « d’agrandir le magazin, d’annexer les caves et d’en faire un sous-sol » e di costruire un giardino simile a quello della villa adriana ; Anne10 conserva ogni oggetto del marito e perfino la disposizione degli oggetti da lui lasciata, come se inconsciamente ne volesse imbalsamare la volontà e il ricordo. Per lei infatti tutto ciò che interrompa o infranga l’ordine, la monotonia e la ripetitività della quotidianità è una intromissione violenta, che rischia di sgretolare il suo precario equilibrio psichico :

 

Bien que semblant préoccupée de poursuivre le grand œuvre que, selon son analyse, seul le temps et un passage de témoin trop tardif l’avait empêchée de mener à bien, elle est philosophiquement à l’opposée de la conception paternelle. Elle, la clé de voûte de son système, c’est que chaque jour se répète à l’identique, savoir: neuf heures sonnent au clocher de l’église, elle répose précipitamment sa tasse de café au lait sur la table et, tout en s’essuyant la bouche avec sa serviette, court ouvrir la porte de son magasin. La journée est lancée. A partir de quoi elle tolère quelques principes d'incertitude liés au temps qu'il fait, à la saison et à l'incidence de ces facteurs et de quelques autres sur la fréquentation. Tout ce qui vient rompre cette savante monotonie orchestrée autour des heures d’ouverture de son commerce est considéré comme une intrusion brutale rlsquant d’introduire le virus du temps dans ce laborieux exercise de surplace (P.V.C. pagg. 154-155).

 

3. La "silhouette ombreuse"

 

Nei primi tre romanzi di Rouaud ci sono soprattutto rapidi cenni e allusioni al dolore di Anne per la perdita dell’amato11 :

 

On lui parlait comme aux sourds-muets, en s’adressant à la personne à côté. On nous demandait comment va ta maman, et maman se tenait à deux mètres, en exil, très loin. Elle mit des années à réintégrer le monde des vivants (C.H12 pag.109).

 

In Pour vos cadeaux la psicologia di Anne viene sviscerata e sceverata, tramite l’analisi delle reazioni derivanti dalla lunga serie di lutti, da lei subiti, sintomo dei suoi disturbi ossessivo-depressivi.

In primis, patisce lo strazio della morte di un figlio, sedato attraverso la sua apparente imperturbabilità :

 

Elle a perdu son premier enfant à trois semaines. On comprend qu’un an lui soit apparu comme un horizon impossible à atteindre. Un an, alors que rôdent la morte subite et mille embûches, un an pour apprendre les lois de l’équilibre et adopter la position verticale(..) (P.V.C. pag.66).

 

Anne, per continuare a vivere, convoglia tutta la flebile forza vitale e il debole istinto di conservazione in un bisogno insopprimibile di compiere atti e obblighi, da cui diventa dipendente, senza riuscire a sottrarsene. Depressa, perde ogni capacità di gioire : è una morta vivente, incapace di qualsiasi percezione ottimistica del reale. Lo struggimento e l’afflizione la obbligano ad avanzare in equilibrio sospesa « sur le fil des jours »(P.V.C. pag. 50). Non può volgersi al passato : neppure per un attimo le è possibile rievocare qualche momento felice. E’ costretta come Orfeo a non voltarsi all’indietro, poiché lo struggimento e l’afflizione la logorerebbero fino alla consunzione :

 

Mais il est une autre chose qui la condamne comme Orphée à ne pas se retourner, que nous avions négligée parce qu’elle prenait si peu de place, juste un prénom suivi d’une date gravés sur une plaque de marbre blanc, il est un moment dans sa vie à partir duquel il lui est désormais impossible de regarder en arrière sans qu’entre son présent et sa vie ancienne ne s’interpose la figure d’un nouveau-né, immobile dans son berceau, image d’Eurydice renvoyée définitivement aux enfers (P.V.C. pagg. 79-80).

 

Segue la morte di Joseph « ce lendemain de Noël où disparait brutalement le père héroïque »(P.V.C. pag. 102), seguita da tre giorni e tre notti in cui la « odeur aigrelette et sucrée se dégageait de la chair aimée »(P.V.C. pag. 50), che cagiona il tracollo psichico di Anne. Chiusa nel suo mutismo, provoca disagi psichici e sociali alle figlie e soprattutto a Jean, occultando nell’animo il tormento e il patimento, riservatole dal destino; ogni lutto è da lei preservato nell’intimità del proprio cuore e logora i suoi tessuti di donna :

 

Car bien sûr il y a une vie avant la mort, mais comme en attente, involutée, jusqu’à ce soir du vingt-six décembre où sonne brutalement son heure, alors que dans la salle de bains voisine, son homme entre en agonie et qu’elle martèle la cloison pour appeler à son secours l’oncle Emile, lequel, s’il a la télévision, pour ne pas être dérangé quand il la regarde, n’a pas le téléphone, c’est pourquoi, alors qu’elle a sans doute tenté en vain d’appeler le médecin, elle a recours à ce procédé rudimentaire digne de la brousse, à ce roulement de tambour de guerre (P.V.C. pag. 107).

 

Questo strazio la spinge, in un afatico vegetare, a continuare a vivere per accudire alla famiglia « à force de courage et de renoncements »(P.V.C. pag. 46). L’energia di cui necessita per rimanere in vita, è da lei ecomizzata : l’amore per i figli è l’unico motivo che la tiene in vita.

 

Considérons simplement que on naît Annick Brégeau, un cinq juillet mil neuf cent vingt-deux à Riaillé Loire-Inférieure, ça permet (..) de réussir à élever seule trois enfants de neuf, onze, quatorze ans alors qu’on se retrouve veuve à quarante et un ans, et que cela semble bien tôt pour se mettre en congé de la vie (P.V.C. pag. 164).

 

La sua depressione si manifesta nell’inibizione alla comunicazione orale, che la condanna a introiettare il dolore. Annick, per vivere, rimuove il ricordo del passato, poichè le sarebbe impossibile sopportarlo e s’immerge in un presente ripetitivo e metodico, divenendo una sagoma d’oltretomba.

 

Il semblait que seul le présent l’intéressait, mais un présent sans surprise, se répétant jour après jour, rituellement, égal à lui-même, interdisant de ce fait tout changement, si bien que le magasin, par exemple, demeura à peu prés dans l’état où notre père l’avait laissé (P.V.C. pag. 34).

 

L’inesorabile rimozione della memoria, estremizza il suo senso di praticità, così da farle considerare « la simplicité un but »(P.V.C. pag. 39) : Anne, infatti, compie ogni azione meccanicamente come un automa, recusando ogni tipo di vagheggiamento, dopo tutti gli anni bui, nei quali ha percepito « un gouffre sous elle »(P.V.C. pag. 42). Esclude tutto ciò che possa modificare la sua percezione della realtà o contraddire la sua visione pragmatica delle cose.

Non solo le sue giornate, anche le sue annate si articolano intorno ad alcuni avvenimenti ciclici, il Natale e la Festa della Mamma.

Il rifiuto stoico di ogni sentimento tiene in vita la madre in una fuga temporis volontaria , che la rende imperturbabile e logopatica. Annick occulta un’esistenza interiore travagliata e desolata, in ambasce e patemi continui, che la rendono incapace di comunicare con i figli : con lei è impossibile parlare dei progetti sul futuro, sullo studio o sul lavoro, non perché non si preoccupi del loro avvenire, ma perché è impossibile domandarle qualcosa che esuli dal suo ripiego esistenziale di « spiritus economicus ».

 

Mais comment demander de se projeter si loin en avant quand son objectif de chaque jour est d’atteindre le jour finissant ? (P.V.C. pag. 124)

 

Una donna severa e ieratica nella sua desolazione, chiusa in una metodicità quotidiana, che, con le sue messe in piega impeccabili e il suo guardaroba nero, fugge il ricordo, tramite l’orgoglio e il senso del dovere. Una vedovanza austera e silenziosa, che le farà impiegare « dix ans pour sortir la tête hors de l’eau, retrouver ses esprits »(P.V.C. pag. 106), per poi viverne altri quattordici, in preda ad una logorrea ed ad una mania per il commercio, che evidenzia la di lei intima debolezza. Come ha evidenziato Rouaud stesso :

 

Ma mère après la mort de papa était devenue une vraie ombre et elle avait pris l’aspect d’un mort et d’un quasi-disparue.(I.P.)

 

 

 

Anne : il compenso antidepressivo

I figli, che l’hanno accompagnata nella sua traversata delle tenebre, influenzati e suggestionati simpateticamente anch’essi dalla sua dimensione di intimo sgomento, un giorno, all’improvviso, la vedono :

 

(…) revenir à la surface de la terre après ces dix longues années de remontée, et lancer son grand rire moqueur, prendre la vie, comme ses colis, à bras-le-corps, et courir, courir, tandis que c’est nous, sonnés bien plus qu’elle peut-être, qui peinions à regagner nos existences (P.V.C. pag. 114-115).

 

Questa seconda fase psichica è il compenso antidepressivo, che segna il superamento del trauma della perdita di Joseph. Questa uscita gioiosa della madre dall’oltretomba è contraddistinto da «  un rire inextinguible, un rire inondé de lumière »(P.V.C. pag. 138), riso liberatorio che la riporta nel mondo dei viventi. L’impossibilità di continuare a vivere la sua ossessiva depressione, innesca un movimento contrario di estremo appetito di vivere.

 

Et puis, après dix années de veuvage austère, et silencieux, voilà qu’elle rentre hilare d’une veillée funèbre. La mort ressemblait à Oliver Hardy. Elle ne peut plus s’arrêter de rire. Et elle devient bavarde comme une pie 13.

 

Il trauma, che la chiudeva in un mutismo intransigente, è rimosso dallo stesso evento che lo ha provocato : l’osservazione distaccata, da spettatrice di un funerale ; questa inumazione provoca la sua liberazione dall’impassibilità :

 

(…) elle essayait de nous expliquer, entre deux hoquets hilares qu’elle tentait d’étouffer en posant trois doigts sur la bouche, qu’à la place du mort, exposé sur son lit, ventripotent, massif, tel que nous l’avions connu, elle avait cru voir, à la faveur de la pénombre sans doute, mais avant, qu’on lui rappelle qui est qui dans le couple formé par les célèbres duettistes américains, alors, si Lauriel est le petit maigre, c’est bien Hardy qui reposait sur la couche mortuaire, et, de l’instant où la ressemblance lui était apparue, il lui avait été presque impossible de regarder son sérieux, alors que les uns et les autres qui selon la tradition s’étaient déplacés pour dire un dernier adieu au disparu (…) (P.V.C. pagg. 138-139).

 

L’ultimo periodo della sua vita è contrassegnato da una forte euforia e da un’esuberante disinibizione, in una fuga dispersiva di iniziative ed idee. La mania spiega l’estrema logorrea di Anne, l’ilarità e il suo continuo impulso a muoversi e ad indaffarsi senza tregua.

La rimozione inconsapevole dello choc, tramite l’ironia sull’esistenza, spinge Annick a quell’iperattivismo . Il lavoro per Anne diviene l’unica terapia14 :

 

Elle [Anne] trouve dans le sens du devoir, dans l’intelligence du commerce et l’ambition, un peu raide et rouée de bien faire, une énergie irréfragable, insoupçonnée, pour plus que survivre : renaître de cette mort 15.

Per Anne il magazzino familiare è il riparo, l’antro, il luogo di incontri e di scambi : è la sua apertura al mondo, il suo ufficio di lacrime e di gioie, è tutta la sua vita, il centro immobile. La madre lavora infaticabilmente : ordina, organizza e dispone tutto.

Il commercio, rimanda alla descrizione del lavoro di rappresentanza di Joseph in Des hommes illustres16; esso è la finalità della sua esistenza : non è la ricchezza, come elemento di cupidigia o di eternità, (come per Harpagon o mastro Don Gesualdo), che la madre ricerca, ma un mulino a vento da rincorrere , una chimera :

 

 Elle garde tout, factures, agendas, bons de commande, de livraison, prospectus, catalogues, souches de chéquiers, relevés de compte (P.V.C. pag. 150)17.

 

Il commercio, come per Marie il cristianesimo, è per Anne una « forma »18, a cui si aggrappa e in cui si rifugia : l’alibi del suo intimo bisogno di significato.

 

La morte di Anne

Il narratore immagina che la madre, una mattina, decida di chiudere il negozio, anche se tutta la sua vita gravita intorno al lavoro, inconscio e volontario lascito coniugale.

 

La décision d'arrêter se prendrait-elle un matin, à l'heure du petit déjeuner, au moment où sonnent neuf heures au clocher, c'est-à-dire qu'au lieu de se précipiter pour ouvrir la porte du magasin, elle resterait as